Émission Togbaxa sur Capp Fm: Laurent Zomaï décrypte l'actualité sociopolitique en langue "Fon"

Laurent Zomaï: Président National du Cadre de Concertation des Jeunes(CCJ)

Le jeune acteur politique des 17e et 18e circonscriptions électorales est reçu sur l'émission Togbaxa de la radio Capp Fm ce vendredi 20 juillet.  *Laurent Zomaï, Président national du Cadre de Concertation des Jeunes (CCJ)* a opiné sur quelques sujets fondamentaux qui structurent l'actualité sociopolitique du moment. 

        D'une langue déliée portée par le patois local _fon_, *Laurent Zomaï* a clarifié sa position sur la question de l'employabilité des jeunes à l'ère du Nouveau Départ. Pour lui, les jeunes gens doivent cultiver l'esprit d'entrepreneuriat au lieu  d'attendre l'État ou l'administration publique avant de résoudre l'épineux problème du chômage puisqu'à la date d'aujourd'hui, l'actuel régime a offert les meilleures opportunités d'auto-emploi à la jeune génération. 

        Par rapport au brûlant sujet relatif à la révision de la loi fondamentale, le Président national du Cadre de Concertation des Jeunes pense que l'opposition contredit ses propres vœux auxquels elle s'attachait par le passé. Selon ses explications, c'est ceux qui avaient défendu bec et ongle la révision constitutionnelle sous l'ancien régime qui combattent aujourd'hui le *Président Patrice Talon* dans sa volonté de réformer le Bénin et ses institutions. Le plus déplorable, à l'en croire, est que ces derniers ne disposent d'aucun argument solide pour clarifier le supposé ''flou'' qu'ils dénoncent dans le nouveau projet de lois. 

      En félicitant le Chef de l'Etat pour son audace et sa perspicacité dans la gestion et pour la confiance faite aux jeunes, il a invité la jeunesse à s'armer ardemment pour les élections législatives prochaines qui s'annoncent avec beaucoup de ferveur et d'agitation dans les états politiques. En cela, il affirme qu'il est temps que les jeunes se départissent du parasitisme politique et s'engager à soutenir les candidatures des jeunes. C'est ainsi que nous vaincrons ensemble la bataille, a t-il conclu.